Soit, vous vivez votre propre vie avec l’idée que vous vous faites de ce qui est bien ou pas bien, juste ou pas juste. Soit, vous remettez ce soin à Dieu et lui demandez de collaborer avec lui pour le « Bien ». On peut avoir son Dimanche dominical, sa prière soir et matin, et pour le reste du temps se débattre seul ou s’acharner frénétiquement sur ses tâches journalières en faisant …du mieux possible. – Cela s’appelle le « stress ».

Dans une revue scientifique très sérieuse, j’ai lu que « le stress psychique entraînerait le stress biologique » qui pourrait provoquer des déséquilibres plus ou moins graves de notre état de santé, voire de sérieuses maladies ».

Petit exemple : « j’ai eu à une certaine période un gros souci, qui me creusa lentement mais sûrement, une gastrite (un début d’ulcère d’estomac). A mon souci se trouva une parfaite solution. Mais ma gastrite, je l’ai gardée pratiquement 30 ans. – Si j’avais fait le choix de la foi en Dieu, que je m’étais confiée en Jésus-Christ qui est le don suprême de l’Amour de Dieu, si j’avais fait une « lâchée prise vraie » dans la main de Celui qui fait que « toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu » (Rom 8 v28), je me serais évité bien des souffrances inutiles. -Combien de multiples exemples semblables ne pourrait-t-on pas citer ?

« J’ai déchargé son épaule du fardeau, et ses mains ont lâché la corbeille. Tu as crié dans la détresse et je t’ai délivré. » (Ps 81 v7-8) D’avance, Dieu nous a déchargé du fardeau : son fils nommé Jésus, le Christ, est né, nous a apporté la Parole, a souffert et est mort pour nous, pour nous décharger de nos fautes, chagrins, et de tous nos poids ; même des personnes pour lesquelles nous prions : le Seigneur s’en occupe, il les aime encore plus fort que vous.

Il en est de même pour tous les problèmes que nous croyons devoir résoudre nous-mêmes. Ne pas confondre avec l’insouciance, l’indifférence, le fatalisme ou le « on ne peut quand même rien y faire ». Confiez vos préoccupations au Seigneur Tout-Puissant tout en lui demandant de vous inspirer pour être un instrument utile entre ses mains. Dites-lui vos « Que dois-je faire ? » ou « Que dis-tu dans cette affaire. » Et même si c’est le silence qui vous répond, faites-Lui confiance et « lâchez la corbeille » ; lâchez votre stress, relâchez vos muscles tendus, détendez votre visage, reposez-vous sur Lui et avancez dans la confiance.

« Soyez toujours joyeux ; Priez sans cesse. Remerciez Dieu en toutes circonstances. » (Thessaloniciens 5 v16-17). Voici une invitation, non pas à une vie monastique, mais à s’adresser au Seigneur comme à un ami toujours présent qui peut vous conseiller, vous rassurer, vous réjouir aussi dans tous les moments de votre vie.   

Dieu veut que vous soyez en Paix (v23) et serein dans l’adversité comme dans les beaux jours ; votre bonne santé physique et psychique ne pourra qu’y gagner. Abandonnez-vous totalement à Dieu !

« Ceux qui comptent sur le Seigneur reçoivent des forces nouvelles ; comme des aigles ils s’élancent. Ils courent, mais sans se lasser, ils avancent mais sans faiblir. » (Es 41 v31)

Chers jeunes, il est vrai que j’ai 86 ans et que je suis une grand-mère. Mais je me tiens très au courant des actualités et je ressens ce que vous vivez. J’ai été jeune aussi, j’ai vécu l’époque de la guerre et j’ai conscience que notre époque s’amplifie d’autres menaces encore. Car aux guerres s’ajoutent les attentats, les désordres climatiques, la mondialisation, l’expansion des drogues, la recrudescence des maladies et épidémies, les agressions, et j’en passe, mais :« Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et pour l’Eternité »(Hébreux 13 v8).

Ne restez donc pas pétrifiés sur place. Chacun de nous a une mission bien précise et irremplaçable. Le monde a besoin de vous. Et le Dieu Tout Puissant veut vous employer comme instruments pour vous aider les uns les autres. Et vous avez tous des dons. Ce qui peut être une catastrophe mondiale pour les uns, peut-être pour un chrétien une opportunité exceptionnelle pour son avenir, tracer sa voie et servir Jésus-Christ. Exemple : Joseph jeté au fond d’un puit, ensuite vendu comme esclave en Egypte, puis intendant et faussement accusé fit de longues années de prison, pour finalement devenir le Puissant gouverneur de l’Egypte qui sauva son propre peuple avec l’Egypte d’une redoutable famine. Durant tout ce temps, il mettait toujours sa Confiance en Dieu. « Ne crains rien » (Es 41 v10)

Autre exemple : L’apôtre Paul, jeune-homme d’illustre famille, fils de pharisien et romain de naissance, était persécuteur fanatique des chrétiens les assimilant à une secte et croyant plaire à Dieu. Quand Jésus-Christ se révéla à lui lors d’une chute de cheval suivie de cécité et de quelques épreuves en surcroît ; le Seigneur guérit ses yeux et il devint le plus ardent et le plus missionnaire des apôtres du N.T.

Vécu : en tant que jeune fille j’ai vécu un moment dans une situation désespérée : isolée, entravée dans mes études musicales par la maladie, dépressive, sans avenir ni espérance, j’appris à connaître Dieu par Sa Parole, la Bible, et accepta de le suivre, quoiqu’il me demande. « J’ai des projets de bonheur pour vous et un avenir à espérer » (Jérémie 29 v11) Je confiais totalement ma vie à Dieu. Vint alors une guérison miraculeuse, je repris mes études, trouva une issue professionnelle, me maria et servi le Seigneur avec mon mari.

Si vous avez décidé de faire votre vie avec Jésus et collaborer à son œuvre de salut dans ce monde, vous pouvez compter sur sa Parole qui est celle de Dieu : « Si tu gardes ma Parole, Je (le Seigneur) te garderai aussi à l’heure de l’Epreuve qui va venir sur le monde entier ». (Apoc3 v10) Le danger existe toujours plus ou moins, que vous soyez placardés chez vous où que vous soyez sur un champ de bataille ; mais, face au danger, sachez que vous n’êtes pas seuls. -Chers jeunes, ne vous repliez pas sur vous, n’ayez pas peur de l’avenir et foncez dans la voie qui vous sera ouverte. Face au danger appelez à votre secours ce Père qui vous aime.

Si vous n’avez pas encore expérimenté dans votre vie la réalité de Dieu ; et par la suite son incarnation en Jésus-Christ, sachez qu’IL vous aime et qu’il vous cherche : « Je frappe à la porte, celui qui m’ouvre, je mangerai avec lui et lui avec Moi. » (Apocalypse 4 v20)

Je (Jésus)suis le pain de Vie (Jean 6 v35).

Ne vous êtes-vous jamais posé la question : comment vous pourriez quelque peu entraver le mal ici-bas ?

Une petite histoire de Noël qui date, il est vrai, d’environ un demi-siècle, mais dont on peut tirer un enseignement : un soir de Noël, un jeune-homme à la mine sombre, errait dans la ville et entra finalement dans une église où avait lieu un culte. Une vieille petite dame à côté de lui l’observait. « Tu es seul ce soir mon petit ? … moi aussi. Si tu veux, je t’invite à dîner chez moi et à fêter Noël ensemble ». Sans trop savoir pourquoi, le jeune suivi la femme. Il avait prévu ce soir -là un « mauvais coup » qui fut ainsi éradiqué par un geste du cœur d’une vieille femme.

Bien sûr à notre époque actuelle, où les coups de couteaux ne sont pas rares, il serait dangereux de suivre cet exemple à la lettre. – Mais proposer à une personne déstabilisée, qu’elle soit à la rue ou l’un(e) de vos ami(e)s, à prendre quelque part un petit plat ou un café pour la réconforter, l’écouter et avoir l’occasion de l’encourager par des paroles positives, un témoignage chrétien, voire lui offrir un Evangile, peut limiter beaucoup de mal. On peut empêcher ainsi des gestes fatals et même aider cette personne à reprendre sa vie en main et à s’orienter vers un avenir plus serein.

Un autre exemple, très différent : prenant un jour le tramway en ville pour rentrer, comme nous avions du monde le soir, j’avais acheté un dessert. -Le tramway était bondé. A deux mètres de moi se trouvait un jeune inconnu qui me fixait avec un regard chargé d’une haine impressionnante. Je compris le message : « Sale bourgeoise, avec ton petit carton de pâtisserie ! » : Sidérée, je priais intérieurement « Mon Dieu, que dois-je faire ? »

La réponse ne fut pas moins surprenante : « Beaucoup l’aimer !» Je soutenais donc son regard tandis que, instantanément, montait en moi l’Amour de Dieu avec une intensité extraordinaire. Cette situation dura quelques minutes ; puis son regard s’adoucit et enfin se détourna de moi. La prochaine station d’arrêt nous sépara. - Encore très impressionnée je racontais mon expérience à une chrétienne de mon église « mais à quoi cela a servi, je n’ai pas même pu lui parler ? » elle me répondit : « Il a peut-être simplement appris à connaître que l’Amour de Dieu », ça existe.

Un dernier témoignage : transportée à l’hôpital dans un état sans espoir, je restais souriante dans mes moments de lucidités, témoignant de l’Amour de Dieu comme je pouvais, sans doute plus ou moins maladroitement. Et durant mon séjour, voyant tout le dévouement du personnel soignant pour me tirer d’affaire, je m’efforçais autant que possible à leur éviter des efforts et du stress avec ma participation. -Au moment du départ je les remerciais chaleureusement. A ma grande surprise les infirmières alignées près de mon brancard, m’ont répondu « Nous aussi, vous remercions de ce que vous nous avez apporté ». - Qu’avais-je apporté ? Rien que ma maladie. – Mais au travers de ce « mal » Dieu avait fait passer un message.

A l’apôtre Paul, grincheux, à cause d’un mal dont il voulait être guéri, le Seigneur lui répondit :

« Ma puissance s’accomplit dans la faiblesse » (2 Cor 12 v9)

« Aime ton prochain comme toi-même » (Matt 9 v19)

Voici que s’est ouvert devant nous l’Année 2024 avec des festivités parfois fascinantes. Et, il est vrai nous en avons été éblouis et enchantés. - Puis tout retombe comme une pluie d’étoiles étincelantes qui s’efface dans la nuit sombre. Chacun retourne à son quotidien avec son travail, ses soucis, sa déprime souvent. Face à l’avenir incertain, nous ne faisons plus de projets, nous frémissons à l’écoute des bruits de guerres, de la misère et des catastrophes naturelles. – Que pouvons-nous faire ?

Beaucoup se tournent alors vers les voyants, devins, astrologues ; tous ceux qui prétendent détenir les clés de l’avenir. Y compris l’horoscope de votre revue, du journal, ce qui n’est pas un jeu mais peut exercer des influences toujours malsaines, même inconsciemment. – Permettez-moi de vous dire que ce ne sont pas les bonnes solutions ! (Actes 16 v16) Concéder à l’astrologie de quelconques pouvoirs est assimilé à de l’idolâtrie (Deut 17 v3 ; et 18 v10à 12). - Quelques vécus à l’appui :

Partie en déplacement avec mon mari, j’appris à connaître une très gentille personne, célibataire qui avait cinq enfants, d’ailleurs très bien élevés. En toute confiance elle me fit part que dans sa jeunesse, au contact d’une voyante, celle-ci lui prédit qu’elle aurait 5 enfants mais qu’elle ne se marierait pas. Sans doute jolie jeune fille, elle se moqua : « mais si, bien sûr que je me marierai ! » Cependant la prédiction se révéla malheureusement vraie dans sa totalité.

Autre cas : une femme de caractère, professeure dans une école, de même, s’était laissé dire qu’elle se marierait mais n’aurait pas d’enfants et serait promue au cours de sa carrière à une frontière du pays. Pronostic s’étant, malheureusement réalisé. Son mariage n’était pas vraiment un mariage d’amour et son mari se révéla stérile.

Il y aurait certainement beaucoup d’autres exemples à citer, y compris aussi des paroles en l’air qui ne se sont jamais réalisées. – « Oui ! mais certaines prédictions se sont accomplies comme précitées», me direz-vous. - Est-ce pour autant une bonne chose ? Sommes-nous soumis à une destinée fixée par un destin irrévocable ?

Non, c’est une aliénation ! Une aliénation de notre vie, de notre volonté pour notre avenir et surtout de la Volonté de Dieu qui ne désire que le meilleur pour nous. C’est se soumettre aux visions de personnes qui sont animées par un esprit mauvais ; et même si elles font allusion à Dieu et que certaines prédictions sont flatteuses ou positives, l’inspiration est de mauvaise source.

Lors d’une excursion de classe, en voyageant dans l’autobus, une camarade faisait sa petite tournée dans notre groupe et lisait dans les lignes de la main de chacune de nous. – De même, je me prêtais au jeu : elle me prédit « une vie glorieuse mais courte ». Cela d’ailleurs ne me dérangeait pas du tout et par la suite je n’y pensais même plus. Mais il est vrai que cela allait plutôt dans ce sens : Bonne élève dans l’art que je pratiquais et de santé fragile. -Mais, quand j’eus appris, en lisant ma Bible, que ce genre de pratique était contesté et même interdit par la Parole de Dieu, je me souvins de cette prédiction et la refusa : « Je ne veux ni de la vie glorieuse, ni de la vie courte ». En prière je donnais ma vie à Dieu et lui demandais de la diriger, Lui Seul sachant ce qu’il y a de mieux pour moi. - J’eus une vie de famille heureuse, servant le Seigneur dans le cadre de son église et je suis aujourd’hui octogénaire.

Donner sa vie à Dieu ne se termine jamais «Mal » 

C’est aux instructions et aux messages du Seigneur (la Bible) qu’il faut revenir. » (Es. 8 v20) (traduction Français courant)

Noël en latin signifie « jour de naissance ». Cette fête de la Nativité est parallèle aux fêtes païennes liées au solstice d’hiver, le Christ y étant présenté comme le « Soleil de justice » d’une nouvelle ère : « Il vous a été dit : Tu aimeras ton prochain et tu haïras ton ennemi (A.T.), mais Moi (Jésus) je vous dis : aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent et priez pour ceux qui vous persécutent » (Matt 5 v44) Oui ! C’est vraiment une nouvelle ère. Ere de Salut offerte à tous les hommes. Sa naissance ouvre l’année liturgique chrétienne.

Les rituels des traditions liées au solstice cependant subsistent encore. Chez les romains c’était « le jour du Soleil invaincu », signe préliminaire ! Extrait de son contexte païen il prend alors une signification chrétienne : Au milieu des jours les plus sombres de notre planète, le Soleil se lève déjà et « progresse en intensité jusqu‘au milieu du jour » (Prov 4 v18) : vers le retour de Christ en Gloire !

Noël : C’est le cadeau de Dieu à toute l’humanité pour ceux qui veulent bien tendre les mains pour le recevoir : Jésus, mort mais aussi ressuscité veut être « Avec nous tous les jours jusqu’à la fin du monde » (Matt 28 v20)

Mais cette ère aussi a une fin. Et elle est proche. Le Père nous a envoyé le Consolateur, le Saint-Esprit de Dieu, pour nous guider dans cette période finale et si difficile en nous gratifiant « de dons spirituels » (1 Cor 12) et« d’armes spirituelles qui nous aideront à surmonter toutes choses. Car nous n’avons pas à lutter contre des êtres humains mais contre les puissances spirituelles mauvaises, tout ce qui représente le Mal dans notre monde obscur ». (Ephés. 6 v11 -13). Quel que soient les problèmes ou les souffrances que vous rencontriez, priez et criez à Dieu. Usez de ses dons sans vous décourager : ils sont pour vous.

Combattons le bon combat de la Foi. (1Tim 6 11-12) et ne nous trompons pas d’ennemis.

Si vous acceptez sincèrement de dire comme Jésus à Dieu : « Non ce que je veux, mais ce que tu veux » et accepter que Sa Volonté (et elle seule) s’accomplisse en vous, le Saint-Esprit de Dieu aura sûrement beaucoup de choses à vous dire et à vous faire vivre, soit à travers la Bible ou en direct ou par l’intermédiaire d’une parole ou d’un message et à vous employer ainsi pour le salut d’un grand nombre de personnes.  « Votre tristesse se changera en joie. Il vous comblera Lui-même de bénédictions et de joies. « Après cela, je répandrai mon Esprit sur tous les humains ; vos fils et vos filles prophétiseront, vos vieillards auront des songes et vos jeunes gens des visions. Même sur les serviteurs et sur les servantes, dans ces jours-là je répandrai mon Esprit. …Alors quiconque invoquera le nom de l’Eternel sera sauvé. » (Joël 3 v1) à 5)

« Que devons-nous faire pour cela ? » Laissons descendre en nous cette Lumière de Noël venue dans le monde pour éclairer tous les humains et nous annoncer la seconde Venue du Christ, une nouvelle terre et de nouveaux cieux.

« La Paix soit avec vous !» (Jean 20 v19-21-26)

Face à toutes les menaces qui pèsent sur notre monde, les bruits de guerres et les sombres rumeurs de « fin du monde » (Luc 21 v9 à 19), une jeune femme me disait : « Mais alors, on ne peut plus rien faire ? »

Bien au contraire ! l’obscurité n’est pas encore totale, loin de là : « Travaillons tant qu’il est jour (pour Dieu), la nuit vient où l’on ne peut plus rien faire » (Jean 9 v4) nous dit Jésus. C’est là le verset qui était présent dans ma tête, depuis la voiture de pompiers qui me transportait d’urgence à l’hôpital le plus proche. « Que voulez-vous faire encore, laissez-la donc mourir » entendis-je dire près de moi. Je savais donc. - Dans mes courts moments de lucidité, je parlais du Seigneur, je le louais avec joie, j’incitais à lire La Parole de Dieu qui m’avait tant aidée durant toute ma vie et m’avait ainsi prouvée sa véracité. Pendant toute la durée de mon séjour, je veillais à rester à l’écoute de la Parole de Dieu, à la mettre en pratique et la transmettre avec mon cœur et mon être tout entier.

« Approchez-vous de Dieu et il s’approchera de vous » (Jacq 4 v8) et il y a de quoi faire. - Oui ! par la lecture de Sa Parole, le Tout Puissant vous parle. Oui ! A vous de Le « Prier sans cesse ». Oui ! Parlez au Seigneur Dieu qui répond à tous ceux qui l’invoquent avec sincérité. Et suite à cela : Oui ! soyez un témoignage en comportement paroles et actes, « …non pour votre propre avantage, mais pour celui du plus grand nombre afin qu’ils soient sauvés. »  (1Cor 10 v33) Oui ! devenez, vous aussi, des pêcheurs d’hommes ! » (Matt 4 v19)

A la Naissance de Jésus un soir de pluie, de boue, et de froid : la « Lumière du monde », incarnation de Dieu en un petit enfant vulnérable, se pointe au milieu de la nuit. Lumière invisible pour les hôteliers de Bethléhem et les habitants de la ville, mais éclatante pour les bergers qui passent dans les champs et des astronomes éminents venant de pays lointains.

« …et vous-même, comme des pierres vivantes édifiez-vous pour former une maison spirituelle… » (1 Pierre 2 v5) -Lisez ce chapitre vraiment édifiant.

Oui ! c’est le soir de notre humanité faite, symboliquement, elle aussi, de pluie, de boue, de froid. Mais au final éclatera en gloire la seconde venue de Jésus « où tout le monde le verra » (Apoc 1 v7) : « Un jour unique …mais

« Vers le soir, la Lumière se lèvera » (Zacharie 14 v7)

« Jésus avait envoyé 70 disciples (aujourd’hui seraient-ils peut-être des millions) sans sac, ni bourse, ni bâton, dans différents endroits pour y porter la Paix (Parole de Dieu) et guérir les malades ». Quand ils revinrent tout joyeux, disant que même les esprits mauvais leur étaient soumis au nom de Jésus, le Seigneur leur dit :

1) - « Je regardais Satan (l’esprit du Mal) tomber du ciel comme un éclair !» (Luc 10 v18)

- Lisez ce chp. 10 de l’évangile de Luc v1 à 24 pour une meilleure compréhension.

-Que pouvait signifier dans ce contexte une telle exclamation ?

Le Seigneur leur recommande ensuite de ne pas se vanter mais de se réjouir plutôt de ce que Dieu ait agréé leur service. Ensuite une grande joie envahit Jésus et il remercie le Père pour les révélations spirituelles, inaccessibles à la plupart des intellectuels de ce monde, mais accordées aux simples et aux enfants qui se sont donnés à son service (Luc chp10 v1 à 24).

L’exclamation de Jésus m‘a rappelé ce passage dans l’Apocalypse ; lisez ce chp 12 de l’Apoc :

2) - « La bataille dans le ciel … le Dragon jeté sur la terre… maintenant le Salut est arrivé… Réjouissez-vous » et la suite (Apoc 12 v9 à …)

Ces deux situations seraient-elles parallèles et simultanées ? Certains théologiens le relèvent. - La question reste ouverte.

Cette grande puissance de salut, de délivrance et de guérison, Jésus l’a multipliée au travers de ses disciples : « Ecoutez : Je vous ai donné le pouvoir de marcher sur les serpents et les scorpions et toute la puissance de l’ennemi et rien ne pourra vous nuire. » (Luc 10 v19). Cette puissance doit s‘étendre autant que possible.

La voie est ouverte mais le combat fait rage maintenant sur la terre : « l’Esprit du Mal est descendu vers vous, plein de fureur, car il sait qu’il lui reste très peu de temps. » (v12)

Cependant nous avons la certitude que nous, le peuple de Dieu, même si nous devrions au passage avoir des épreuves et des échecs, nous vaincrons, au final, par la persévérance, le courage et la foi en notre maître et Seigneur Jésus-Christ pour l’anéantissement totale, ici-bas sur terre, de l’esprit du Mal dans le monde. – « Alors nous verrons un nouveau ciel et une nouvelle terre ! (Apoc 21 v1) – Le retour de Christ en Apothéose !

Le Seigneur nous recommande de prier pour que Dieu envoie des ouvriers dans la moisson. Nous, qui ont choisi de vivre avec le Seigneur, sommes tous concernés, tous envoyés, « Chacun a des dons » (1 Cor chp 12 v7), priez que le Saint-Esprit de Dieu nous les révèlent.

«Je (Jésus) suis la Lumière du monde » (Matt 9 v5)

« Vous êtes la lumière du monde » (Matt 5 v14)

un secours toujours présent dansla détresse. C’est pourquoi nous sommes sans craintequand la terre est bouleversée, quand les montagnes sont ébranlées au cœur des mers et que les flots de la mer mugissent, écument, se soulèvent jusqu’à faire trembler les montagnes. » (Ps 46 v2 à 4)

N'est-ce pas un peu prophétique de ce que nous vivons aujourd’hui dans ce climat dérèglé ? Peut-être ! mais pas que … Symboliquement ! n’est-ce pas aussi parfois le bouleversement de notre être intérieur, nos soucis personnels, nos problèmes de santé et même de notre équilibre psychique qui dépassent les bornes de notre compréhension et de nos capacités à les surmonter ?

Si une difficulté semble avoir trouvé sa solution, une autre surgit, puis une autre, puis une autre encore, et cela devient la cascade, avec nous en dessous bien sûr. - Oui, c’est humain, mais nous avons peur et nous stressons, c’est inscrit dans notre corps : pour nous et aussi nos familles, nos amis et nos frères en la foi. Nous nous sentons complètement débordés : Trop c’est trop ! 

Crions donc à Dieu : « Disperse! mes (nos) ennemis…Sauve-moi (nous) des grandes eaux » (Ps 144) -Vous ne savez plus comment prier ? Soupirez ! Soupirez en prière, dans votre faiblesse et le Saint-Esprit transformera vos soupirs en prière selon le cœur et la volonté de Dieu (Romains 8 v26 et 27)Car Dieu nous recommande de lui faire confiance quoi qu’il arrive : Tu ne craindras ni les terreurs de la nuit, ni la flèche qui vole de jour, ni la contagion qui frappe en plein midi » (Ps 91) Bien sûr, l’insécurité existe, mais « Dieu n’abandonne jamais ceux qui le cherchent » (Ps 9)

Il n’y a pas d’heure pour la prière ; c’est cela que veut dire : « priez sans cesse » ( 1 Thess 5 v17) ; dans l’intimité de votre cœur, vous pouvez prier sur place, pour une personne, ou face à une situation compliquée, un danger, un obstacle, un travail difficile ou autre circonstance. « Remerciez aussi le Seigneur pour ses bienfaits » (Ephés 5 v20) c’est une chose qu’on oublie trop facilement, face à un exaucement ou à un évènement qui nous a réjoui le cœur.

Dieu est là, avec chacun de nous, même sans que nous le sachions (Genèse 28 v16) et il est prêt à nous conduire dans sa volonté qui est notre bien ; mais l’individu doit faire sa part aussi : « Voici je viens avec le Livre écrit pour moi ; je veux faire ta volonté mon Dieu » ( Ps 40 v8-9) - Il est vrai que le Seigneur nous demande parfois un pas difficile qui demande la foi, le courage, l’ardente volonté de le servir, parfois quitte à prendre des risques ; IL nous met ainsi à l’épreuve. - Au nom de Jésus-Christ, notre Père peut renverser des situations, faire des miracles au travers de nous et également pour ceux pour lesquels nous prions.

Il peut aussi « nous faire passer par le feu et par l’eau » (Es 43 v2)- pas toujours simple- mais aussi nous faire « transporter des montagnes » (Matt 17 v20) « marcher sur les serpents et les scorpions et sur toute la puissance de l’ennemi ».

« Veillez et priez en tous temps ainsi vous aurez la force de surmonter tout ce qui doit arriver.» (Luc 21 v3)

Le chapitre 4 (Apoc.) révèle la Beauté et la Pureté du Dieu Créateur et des lieux qui l’entourent, représentés ici symboliquement par des joyaux les plus magnifiques qu’on puisse imaginer, des flambeaux, une mer d’une pureté inégalable, des personnages purs et d’une beauté parfaite ; des figures d’animaux aussi. Car nul ne peut s’imaginer à quel point ce « Monde d’après » surpassera ces images.

Et tous ces êtres vivants se prosternaient devant Dieu dans la reconnaissance. Un bel exemple pour nous ! Car le souvenir de ce que Dieu nous a donné et les bénédictions qu’il nous a accordés doivent nous encourager à aller de l’avant et de persévérer dans la Foi et la Confiance :

« Car Tu n’abandonnes pas ceux qui te cherchent Seigneur » (Ps 9 v11)

Le Chapitre 5 nous parle du « Livre » qui sont « Les Ecritures » ( la Bible) qui ne peut être comprise qu’au travers de Jésus-Christ, mort pour nous, l’agneau pur et sans tache  :

« Cherchez et vous trouverez… »(Luc 11 v9)

Les chapitres 6 à 18 nous décrivent « tous les malheurs du monde » par les 7 sceaux, les 7 trompettes, les 7 fléaux, les 7 coupes. Mais il y a sans doute une superposition de ces séries, de même qu’une partie déjà derrière nous ; les deux guerres mondiales peuvent en faire partie. -Le 7^ème élément de chacun décrit une perception de ce qui se passe simultanément dans le monde spirituel. - A observer que la 7^ème coupe décrit la chute de la Grande Babylone, symbole probablement d’une débauche jusque-là encore inégalée dans notre monde.

Nous ne comprendrons pas tout bien sûr dans toutes ces images symboliques ou parfois réelles ; mais en faisant des rapprochements avec notre actualité nous discernerons, avec l’aide de la prière et du Saint-Esprit, ce sur quoi le Seigneur veut nous éclairer aujourd’hui. Ne craignons rien :

« IL nous gardera dans ces temps difficiles » (Apoc 3 v10)

« C’est pourquoi tenez-vous prêts, vous aussi, car le Fils de l’homme (Jésus-Christ) viendra à l’heure que vous ne pensez pas. » (Matt 24 v44)