STOP SUICIDE !

Différentes statistiques nous informent que le taux de suicides en France et même en Europe s’élève de manière inquiétante. Nous en entendons les échos de ces actes de désespérances, même jusque dans notre proche entourage.

         Beaucoup de ces personnes ne voient plus d’autre avenir qu’une souffrance insupportable et insurmontable. En recherche d’un repos et d’une paix salvatrice, elles cèdent à cette pulsion maléfique et choisissent une fin brutale et définitive à leurs maux.

         Ce peut être aussi un acte fatal commis dans un instant d’affolement incontrôlé qui mette ainsi un terme à une vie qui aurait pu encore voir des jours heureux.

         Mais Dieu a d’autres projets pour nous : « projets non de malheur mais de Bonheur pour vous donner un avenir et une espérance. » ( Jérémie chp 29 v11)

         Un exemple de la Bible peut entre autres être un éclairage :

L’apôtre Paul et son compagnon Silas étaient en prison à cause de leur foi en Jésus Christ, quand survint un tremblement de terre. Le gardien de prison chargé expressément de les garder, voyant que les portes tombaient et que les chaînes se détachaient fut très effrayé.

A cette époque la faute professionnelle était punie de torture et même de mort. Le gardien prit donc son épée pour se transpercer, quand il entendit Paul crier d’une voix forte : « Ne te fais pas de mal ! nous sommes tous ici » Cet homme tremblant de peur se jeta aux pieds de Paul et de Silas : « Que dois-je faire pour être sauvé ? la réponse  fut : « Crois au Seigneur Jésus Christ et tu seras sauvé, toi et ta famille ! » -- La suite du récit nous dit que cet homme reçu la Parole de Dieu , lui et les siens et fut rempli de joie d’avoir cru en Dieu. Le lendemain il eut l’ordre de relâcher les prisonniers. Son problème était résolu. Dieu est tout puissant pour sauver !

         Oui ! il y a une autre solution, un autre repos que celui de la mort désespérée!

Que dans nos ténèbres même les plus profondes, nous entendions aussi cette voix de l’Amour de Dieu, perçant notre détresse, criant :

         « Ne te fais pas de Mal !       Ne te fais pas de Mal !